28 novembre 2014

Sortie de Pokemon Rubis Oméga et Sapphire Alpha

Aujourd'hui c'est la sortie de la nouvelle mouture de la licence de Gamefreak hébergée par la firme de Kyoto. Ce nouvel opus permet de redécouvrir un episode de la franchise sorti en 2002 (quand même !). À l'époque, il s'était écoulé 16 millions d'exemplaires du jeu. 
Aussi, un nouvel épisode a été inséré dans l'aventure, par les développeurs : l'épisode delta, car ils la jugeaient trop simpliste. Cet episode va permettre au joueur de découvrir l'origine des méga-évolutions, qui je le rappelle, était une nouvelle fonctionnalité des versions Ⓧ et Ⓨ. 
En outre, je pense aussi à mon fils qui va jouer à un remake d'un épisode de la franchise dont il n'a jamais vu la sortie sur GameBoy Advance, ce qui est en soi plutôt une bonne idée. Je pense donc que ce jeu représente une formidable opportunité de (re)découvrir les pokemons de Hoenn pour les fans de la franchise. Alors qu'il n'était pas forcément facile de les attraper dans les versions ultérieures (celles-ci faisaient plus la part belle à leur pokedex régionaux). Gageons que les graphismes seront mis en valeur par l'écran de la 3DS (et de la 2DS). Une autre attente particulière serait aussi l'implémentation de la fonctionnalité de la pokebanque. Cette fonction qui permet de mettre à l'abri ses pokemons est apparue dans les versions "noire" et "blanche" et a été prolongée pour Ⓧ et Ⓨ. Il était ainsi possible de se servir de ses pokemons d'une version vers une autre !
Ce qui aurait été pas mal non plus, cela aurait été la transposition du jeu sur WiiⓊ, avec la HD, je pense que Groudon ou Kyogre auraient été magnifiques. Mais le jeu n'a jamais été promu en tant que tel sur aucune console de salon de la firme. Dommage.

02 juin 2014

La critique de Mario Kart 8


Vu dans le 20 minutes ed. Paris du 02 juin 2014, la critique de Mario Kart 8. Je la trouve juste et proche de ce que je pense
L'article paru dans "20minutes"
Mais là où ça vaut le coup, c'est que Nintendo offre le rechargement gratuit de l'un de ces 4 jeux pour l'achat de MK8 :
• New Super Mario Bros U
• Pikmin 3
• The legend of Zelda : the windmakers HD
• Wii Party
Il faut juste se créer un compte dans le club Nintendo, rentrer le code du jeu et télécharger le jeu. C'est tout !
ATTENTION : cette offre n'est valable que jusqu'au 31 juillet 2014
Le super logo de MK8 très design

15 avril 2014

Le chiffre du jour : 3,6

3,6€, c'est le montant en euro que doit débourser un internaute français pour pouvoir suivre un épisode de la saison 4 de "Game of Thrones", la fameuse saga fantastico-médiévale de G.R.R. Martin.


Daenerys Targaryen (Emilia Clarke), l'une des protagonistes majeures de la série
La série est actuellement en cours de diffusion aux États-Unis sur la chaîne câblée HBO. Elle a réuni lors du dernier épisode près de 5 millions de fans, outre-atlantique. Ce qui constitue en soit un record pour une chaîne à péage. En France, la série est diffusée 24h après les US en version originale sous-titrée (pour ceux qui ne peuvent attendre) sur la chaîne OCS d'Orange :-( via un bouquet à 12€/mois (ce qui revient donc à 3,5€ l'épisode si l'abonné ne regarde que ça). Disponible également chez les autres opérateurs (sauf Free), le bouquet OCS a déjà séduit 2 millions d'abonnés, en France. Pour info, il en coûtera 74$/mois pour les australiens (soit 12,5€ par épisode) avec engagement. Au royaume-uni, l'épisode passe même à 30€. 
La série se révèle être un véritable phénomène de société car elle est devenue officiellement avec le premier épisode de la 4ème saison, la série la plus piratée au monde avec plus d'un million de téléchargements (un autre article fait mention de 6 millions) sur Bittorrent en moins de 12h successivement à sa diffusion US, il y a dix jours. Le deuxième épisode n'est pas en reste puisqu'il affiche 1,5 millions de téléchargements (illégaux qui plus est), le lendemain de sa diffusion. Et à peine l'épisode terminé, que 195.000 copies de l'épisode étaient disponibles sur le réseau. 

Le fameux trône de fer forgé avec deux cents épées
Le téléchargement semble ne pas être une perte de profits en considérant les dires du directeur des programme de HBO, Michael Lombardo :
«Je ne devrais sans doute pas dire ça, mais c’est une sorte de compliment. La demande est là. Et cela n’a clairement pas eu d’effet négatif sur les ventes de DVD. [Le piratage] est quelque chose qui vient avec le fait d’avoir un programme qui marche très bien sur une chaîne payante.»

À bon entendeur.

Sources :



01 avril 2014

Partez à la chasse aux pokemon avec Google Maps

C'est un peu le "easter egg" de Google !
Depuis ce matin, sur tous les appareils iOS ou Android équipés de l'application Google Maps, il est possible de partir à la chasse aux pokemons sur toute la surface du globe. À vous donc, les pikachus et autres bestioles à pouvoirs de la licence Game Freak. Il y en a 150 à récupérer. Armé de votre pokedex, vous arpenterez donc les rues de grosses villes comme Paris, Tokyo ou Sidney à la recherche de ces créatures. 




Pour cela vous devez commencer par trouver l'icône "démarrer" en dessous de la barre de recherche. Une fois cliquer dessus, c'est parti. Zoomez (et scrollez) sur les rues des principales capitales mondiales et dès qu'il apparaît une icône avec une tête de pokemon tapez-la et ça y est ! Le pokemon est entré dans votre pokedex. 
Il faut un peu de temps pour tous les attrapez, mais il se développe un espèce de mini-communauté qui partage les endroits où trouver les bestioles...
Un conseil : cherchez du côté de "Mountain view" (tiens, tiens...), de Paris, de Sidney (il y en a pas mal), à Tokyo (la grande tour), à Istambul...
Par contre, vous n'avez plus que jusqu'à 2:00 AM PDT pour vous défoulez !

Au fait vous auriez pas des coins où je pourrais chercher ?

14 février 2014

Retenez votre 8 avril 2014...

Eh oui retenez votre 8 avril prochain (dans 53 jours, donc), car le monde risque de s'écrouler ce jour-là. Pourquoi cette date, me direz-vous ? Si vous vous comptez parmi les utilisateurs de Windows 7 ou 8, eh bien, à dire vrai, vous pouvez continuer à dormir sur vos deux oreilles (comme moi, en fait). Cette date devrait plutôt intéresser les (heureux ?) possesseurs de PC tournant encore sous ce bon vieux Windows XP.
Sorti fin 2002, après donc plus de 12 ans de bons et loyaux services, Microsoft en a donc fini avec le support de son OS.
Cette fin du support signifie donc que le système d'exploitation ne sera plus corrigé et ne fera plus l'objet de patchs (de rustines). Autrement dit, toutes les brèches de sécurité qui pourraient être repérées au delà de cette date, ne seront purement et simplement pas corrigées par l'éditeur de Redmond. Cette annonce fait la part belle aux hackers dont le fond de commerce s'appuie sur ce genre d'erreur de coding.
Tout ceci n'aurait pas beaucoup d'incidence, si une machine sur trois, ne fonctionnait pas encore sous XP. L'équipement des machines XP est également très répandu dans les entreprises et dans les distributeurs de billets de banque.
Un tel taux d'acceptation de l'OS est une épine dans le géant américain qui a fait une communication cette semaine à destination du public et des entreprises. Le message était clair "soit vous migrez vers Windows 8, soit vous achetez une nouvelle machine..." dixit le communiqué de la firme. 
J'entrevois déjà des quidams essayer de faire migrer des machines taillées pour XP vers Windows 8. Le risque évident, c'est de perdre des données ou des documents, ce qui l'est moins c'est que les utilisateurs peuvent dire adieu à leur version d'Encarta 2000 et leur Photoshop 6. Un autre point, c'est la capacité intrinsèque des machines à supporter le nouvel OS, les puissances des machines ayant évoluer depuis 12 ans. 
Disons-le clairement l'achat d'une nouvelle machine reste une option raisonnable. Perso, n'ayant pas réussi à me faire la main sur Windows 8 (c'est dérangeant ces tuiles sur un PC qui n'est pas tactile), je recommanderai pour les maniaques du bureau, un investissement sur une machine équipée de Windows 7. 

Sur ce, je n'ai qu'un mot à dire... À vos chéquiers.

A l'époque on parlait déjà de virer XP (suivre le lien)

31 janvier 2014

Les enjeux de la neutralité du Web

Mon collègue m'a fait signer une pétition sur la mise en péril de la neutralité du Web, en me disant "tiens, tu devrais signé cette pétition, c'est effarant ce qu'il y a dedans !! Tu dois certainement connaître vu que tu es très au fait de ce genre de choses (passage de brosse à reluire)..." Effectivement cette pétition n'avait rien d'inconnu en ce qui me concernait. Je savais que ce genre de projet était dans les tuyaux mais de là... Je ne pensais pas que ça arriverait aussi vite...
Tout de suite, il me vient une citation de Churchill "Le mal ne vaincra jamais, à moins que les hommes de bien ne fassent rien" et là, c'est un peu le temps d'agir. Agir oui, encore faut-il le faire en connaissance de cause. 

Pour commencer...
La neutralité du web part d'un principe très simple : les informations qui circulent sur le réseaux sont constitués de paquets élémentaires (packets en anglais). Dans le concept de neutralité du web, chaque paquet d'information est traité de façon quasi-égalitaire par les différents opérateurs techniques (FAI, plateforme, hébergeurs, etc...). Cela veut dire que les paquets ne subissent aucun traitement, aucune altération particulière de la part de ces opérateurs. 

Un petit exemple de neutralité
Prenons un exemple, je surfe sur Youtube. Des paquets étiquetés "vidéo Youtube" arrivent sur mon PC pour me faire visionner ma vidéo. Dans la neutralité, des paquets étiquetés "vidéo Yahoo" sont censés arrivés à peu près en même temps, si les hébergeurs se situent au même endroit (dans la réalité, Youtube n'a pas ses vidéos hébergées au même endroit que celles de Yahoo), en utilisant les mêmes canaux. Il en va de même pour le texte et les images et je pense que vous aurez compris. 

Pourquoi la neutralité ?
C'est assez simples à comprendre. Les enjeux de la neutralité visent à garantir à quiconque, quelque soit l'endroit où il se trouve sur terre dans la limite des capacités des infrastructures disponibles,  de pouvoir se connecter à Internet et ce sans restriction et sans limite. De plus, il faut savoir que l'accès à Internet est maintenant reconnu dans le droit français, comme étant un droit élémentaire au même titre que l'accès à l'électricité ou l'eau potable. C'est malheureusement pas le cas dans tout les pays (RSF publie annuellement un compte-rendu des pays ennemis d'Internet et la liberté d'expression). Mais c'est un autre sujet, bien qu'intrinsèquement il y soit lié.
C'est également dans cette neutralité que le Web et ses nombreux sites sont nés. Sans cette fameuse neutralité, Google n'aurait peut être jamais traversé l'Atlantique et n'aurait jamais connu le succès escompté à l'intérieur de nos frontières. Et pourtant...

Le sujet de la pétition
La pétition que j'ai signée, est un document faisant état d'une menace réelle et avérée sur le principe de neutralité du web. Elle va prendre la forme d'un accord signé entre les États-Unis, l'Europe et certains grands opérateurs techniques afin de les autoriser à pouvoir filtrer les contenus, favoriser des contenus plus que d'autres, pire de censurer et donc d'empêcher la transmission d'information (ce qui constitue une entrave à la liberté d'information). Il s'agit également de favoriser un opérateur en particulier au détriment de la concurrence. 
Il finirait par y avoir un internet à deux vitesse : un internet où ceux qui payent auront un accès plein et entier et un internet plus modeste où seuls des contenus autorisés par votre opérateur vous seront permis d'accéder. 
En cela, la neutralité constitue un gage d'égalité sociale sur le vaste territoire numérique qu'est Internet. 

La neutralité attaquée de toute part. 
Déjà on voit des offres spécifiant 5Go + "Youtube illimité". C'est décemment une atteinte à la neutralité, en voici l'explication. 
Le service de vidéo de la firme de Mountain View "Youtube" est utilisable sans limite alors que le service de vidéo "Dailymotion" est limité au forfait de données. L'opérateur pour cela effectue bien un comptage des paquets "Youtube" versus "Dailymotion". On a bien une différence de traitement des paquets. Cette offre paraît donc anodine mais dans les faits, ça l'est beaucoup moins. 
Mais ce filtrage n'en est pas à ses balbutiements, déjà dans les débats de la mise en place de la future HADOPI, une technique appelée DPI (deep packet inspection) avait été évoquée. Cette méthode visé à inspecter (vous vous en doutiez) en profondeur l'origine des paquets transitant sur le net. De là, on aurait pu dire si le paquet était un paquet lié à une activité de partage illégal ou non. D'ailleurs je me demande si cette méthode n'est quand même pas utilisée pour surveiller les flux (bonjour la parano !). 
A l'assemblée nationale, des députés comme Lionel Tardy ou Alain Suguenot s'étaient élevés contre une telle méthode qui fut finalement rejetée comme moyen de contrôle.

Les alternatives
L'association-phare de lutte pour la neutralité en France est "la quadrature du net" avec son président Jeremy Zimmerman montent régulièrement au créneau afin de dénoncer les menaces qui planent sur le net français, et in extenso dans le monde. 
Régulièrement dans les médias, il intervient pour informer sur les dérives et plus. 
De manière plus générale, il devient important que les gens puissent être informés sur les menaces qui planent, puissent être également conscient de la chance qu'ils ont d'avoir un internet libre. D'où aussi la nécessité de signer cette pétition. 

pour continuer sur le sujet :
Un article du nouvel Obs sur la neutralité




22 janvier 2014

Les problèmes de l'Internet des objets

 Cela faisait longtemps que je n'avais pas poster sur ce blog. Et voilà un vrai sujet de fond. 

L'Internet des objets, qu'est ce que c'est ?
L'Internet des objets est l'espace d'Internet qui est dédié aux objets communicants entre eux et y ayant accès. Ces objets, on en a déjà en notre possession comme les smartphones ou les montres connectées. Mais le concept va bien plus loin : il s'agit d'appareils plus ou moins autonomes qui se connectent seul à Internet. Par exemple, les caméras de surveillance en connection constante et qui lance un email quand une activité est détectée. Dans le futur (pas si lointain), les frigidaires, les fours, l'électroménager en général seront capables d'aller sur Internet pour s'auto-commander des recharges ou des sacs pour aspirateur. Les pèse-personnes pourront communiquer avec une base de données  de diététique pour donner des conseils de nutrition ou bien faire des statistiques sur l'évolution de l'IMC des individus d'une famille. Déjà les téléviseurs vont chercher les programmes télé sur Internet. Tous ces appareils vont générer un trafic internet sans cesse plus important. On parle généralement d'un point d'inflexion ou le trafic des machines sera supérieur à celui générer par les humains. 

Et c'est grave ?
En soit, ce point n'est pas dramatique, mais il signera le commencement de la domination des machines dans notre quotidien.
A cela, il faut voir plusieurs problématiques.
① une problématique d'infrastructures
En effet, avec un trafic grandissant, les lignes classiques (en cuivre) ne suffiront peut-être plus pour accéder tranquillement au Net. Dis plus basiquement, la grosseur des tuyaux d'aujourd'hui ne suffiront plus pour pouvoir surfer dans de bonnes conditions. On peut d'ailleurs se demander si les offres triple/quadruple play des FAI seront encore en mesure de fonctionner correctement (en tout cas j'émets de sérieuses réserves sur les ADSL classiques)
 où sont stockées les données échangées ? Et pour quoi en faire ? 
Ben là c'est un gros mystère qui n'a rien d'agréable. En effet, on peut penser que les données générées par les appareils d'une marque soient "hébergées" dans des datacenters d'une compagnie assurant la prestation de la conservation des données. Tout de suite, on pense à Google ou Microsoft et leurs clouds, et je pense qu'il y a un véritable enjeu dans les années à venir. Je ne pense pas trop me tromper en disant que ce serait stupide de la part de grandes sociétés de ne pas se saisir de ces mines de renseignements. Tout ce qui est capable de renseigner sur nos habitudes est commercialement précieux. Du coup, tous ces objets agiraient un peu à leurs façons comme des mouchards à la solde de gros consortiums (nous verrons ce sujet dans le troisième point). 
Il faut aussi comprendre que le nombre de données générées va devenir énorme (pour ne pas dire colossal) et facilement dépasser le péta-octet et dans toutes ces données, certaines ne seront d'ailleurs peut être pas pertinentes. Bref, il est question de faire le tri entre ce qu'il "vaut le coup" et ce qu'il "ne vaut pas le coup". 
③ les problèmes d'éthique. 
Collecter des données posera également plusieurs questions:
✼les données générées par les objets et en l'occurrence leurs propriétaires en sont ils toujours les détenteurs officiels ? Pourront-ils en jouir comme bon leur semble ?
✼où s'arrête la sphère privée et où commence la sphère "publique", l'environnement des grandes sociétés ?
✼devra-t-on (ou pourra-t-on) collecter toutes les infos ou seulement une partie autorisable (statuant sur des données incollectables, réellement privées) ?
✼sera-t-on certain que la collecte des données ne concerne que des données clairement (et contractuellement) identifiées et pas plus ?
✼qui pourra garantir que ces données ne seront (ou ne pourront) pas être interceptées (ou utilisées) par un organisme tiers (hacker, service de renseignement, organisme gouvernemental) au dépens (ou à l'insu) des personnes qui en sont à l'origine ?
Cette dernière question pose les bases d'un quatrième axe de réflexion. 
④ quid du piratage
Qui dit connexion au Net, dit piratage et en fait rien ne laisse présager que les choses changeront. Déjà un frigidaire connecté s'est déjà fait hacké... No comment ! Et les dernières affaires de la NSA viennent quelque peu conforter cette idée. 

Pour conclure
Outre l'augmentation constante du trafic, on voit clairement que la problématique est loin d'être simple et fait intervenir plusieurs notions (droit, propriété intellectuelle, sphère privée). Par contre, ce qui est certain, c'est que cet Internet des objets connectés verra apparaître de nouveaux acteurs tant au niveau infrastructure (réseau et stockage), que hardware (matériel) ou bien software (application mobile ou PC). À ne pas s'y tromper, pourquoi pensez-vous que certains grands acteurs de la Silicon Valley rachete des start-up qui développent des solutions connectées (le dernier cas en date de Google qui rachète NEST) ? Car ce qu'elles ne pourront pas concevoir elles-mêmes, elles devront l'acquérir via ces dernières, sous peine de perdre une certaine avance en terme de part de marché. 

Tendances sur les sjuets HADOPI et LOPPSI