Le chiffre du jour : 9

9 : c'est le nombre en millions d'iPhne 5S et 5C écoulés en seulement 3 jours après leurs lancement, le 20 septembre dernier. Ce chiffre constitue quand même un record. Mais ce nombre est à relativiser avec seulement 1,5 millions d'unités seulement pour l'iPhne 5C. Ce chiffre est plutôt décevant car logiquement avait un prix plus faible, la cible commerciale aurait dû être plus importante. Seulement voilà avec une différence de prix de seulement 100€ d'écart entre deux modèles de capacité égale, les acheteurs ont préféré se rabattre soit sur l'iPhne 4S, soit sur le 5S, ou soit encore sur le 5 (en occasion ou reconditionné, car il n'est plus commercialisé par la firme). C'était un peu prévisible : avec le 5C (qui emprunte plus les caractéristiques techniques du 5 que du 5S), l'acheteur aurait eu l'impression de ne pas acheter le "nec plus ultra" de la technologie. En plus de cela, il faut dire aussi que quand on achète Apple, on achète un standing, pas un simple jouet. Or là, avec le 5C et sa coque en polycarbonate colorée, on se sentait un peu floué par le géant américain, avec une vague impression d'être un client en marge (hmm). En conclusion : le 5C vendu à ce prix, c'était une vraie mauvaise idée ! Une difference de 200€ aurait été déjà plus significative. Mais là encore, est-ce qu'il y aurait eu des gens pour acheter un iPhne "cheap" ? Rien n'est moins sûr ! À un peu moins de 200$ de coût de production, il y avait également de la marge pourtant. Apple a trop cherché à chasser sur les terres de Samsung, mais en faisant du Apple, c'est à dire avec un produit qui reste cher malgré tout. En définitive, je ne serai pas étonné que les ventes du 5C restent faibles, avec au bout du compte un rabais de la part des distributeurs leur permettant d'écouler leurs stocks et avec donc une durée de commercialisation moins importante que son grand frère le 5S. 

iOS 7 : une nouvelle interface graphique un peu dérangeante

Bon ça y est, j'ai iOS 7 installé sur mon iPhne 5 et c'est pour le moins déconcertant.

Des problèmes à l'installation

Alors qu'une mise à jour de l'iOS n'aurait du prendre tout au plus 45 minutes, il m'aura fallut presque 1h30 pour pouvoir bénéficier de la nouvelle mouture du système d'exploitation "made in Cupertino". 

A l'origine de tant de désagrément, d'abord iTunes. Ce logiciel que je ne porte déjà pas dans mon cœur m'a encore confirmé que certaines choses n'avaient pas changées (même si j'aimerais que certaines changent mais pas d'autres !)

C'est dit, iTunes passe à la version 11.1 et elle est pré-requise pour l'installation d'iOS 7. Et là les choses se compliquent, voici dans l'ordre mes soucis :

• impossible de télécharger la nouvelle version du programme à partir de son ancienne version

• impossible de télécharger la nouvelle version à partir du gestionnaire de mises à jour

• impossible d'installer directement le logiciel, l'installation plantait immanquablement...

In fine, vu que l'installation semblait planter sur la désinstallation, je me suis résolu à désinstaller mon ancienne version d'iTunes (10.6).

Ensuite seulement, j'ai procédé à l'installation de la nouvelle version. 

ÇA A MARCHÉ !  *ouf*

Ensuite il a fallut télécharger le package comme à chaque mise à jour d'iOS. Mais là je dirai c'est plutôt de ma faute : en effet, j'avais changé, quelques jours auparavant, d'identifiant pour l'AppStore, mais je ne l'avais pas ressaisi depuis dans iTunes. Bizarre, il me semblait que si, pourtant. Et donc le fait que mon identification n'était pas reconnue posait quelques problèmes. 

Quelques manipulations plus tard, j'avais enfin télécharger iOS 7 (3,1 Go en 30min, c'est pas terrible comme débit quand même !). 

Donc, 30 minutes après, j'étais enfin prêt à mettre à l'iPhne !

On y arrive

Sauvegarde, mise en conformité de la version de l'OS... Le nombre de checkpoints a été très impressionnant !

Des que mon iPhne a affiché un écran blanc, quel soulagement !

Donc voici maintenant quelques captures d'écran :

L'écran de fermeture : tout en transparence et dégradé. À noter : le slide vers le bas donne les prochaines occurrences dans le calendrier. Le slide vers le haut ouvre l'écran des réglages. 

La première page : des icônes simplifiées et aplaties. C'est assez déconcertant surtout qu'Apple prends le parti de refondre toutes les icônes qui nous étaient si familières !

L'écran de contrôle (slide vers le haut) : des choses bien pensées comme la luminosité, la torche, le Bluetooth et le WiFi)

Le multitâche présente toutes les applications ouvertes. Pour les choisir, slide vers la droite ou la gauche, et pour supprimer, slide vers le haut. 

Mon avis : Apple prends un gros risque en imposant un nouvel OS. Mais c'est ainsi que la firme californienne cherche à se démarquer. Gageons sur cela lui réussisse !

iOS7 est dispo sur iPhne et iPad

Ça y est ! La mise à jour tant attendue de l'OS de la firme de Cupertino vient d'être publié. Au menu des adaptations livrées, une interface refondue (couleur et apparence), une meilleure gestion du multi-tâche, etc...

Par contre l'impératif à tout cela, c'est de devoir libérer 3,1 Go de mémoire, pour pouvoir se l'installer en OTA (par Wi-Fi). 

Bon j'espère juste qu'il est bien ! L'avenir nous le dira !

La citation du jour : Pierre Lescure

« notre boussole c’est l’usager »

Pierre Lescure, le 14 mai 2013

Lors de la remise au gouvernement du rapport mandaté par ce dernier sur l'aménagement de l'économie numérique.  

Il préconise entre autre :
🔹de supprimer l'HADOPI, dont le bilan est plus que mitiger même s'il a fait reculer le téléchargement illégal, mais qui n'a pas pour autant fait progresser l'offre légale,
🔹de remplacer la coupure à Internet par une amende forfaitaire de 60€ (ou plus en cas de récidive). La peine encourue pouvait aller jusqu'à 3 ans de prison et 1.500€ d'amende,
🔹Encadrement juridique du crowdfunding
🔹Une taxation substantielle des smartphones et des tablettes multimédia, en tant que vecteurs de consommation numérique,
🔹Redéfinition des rôles du CSA en tant qu'agent de régulation des programmes et extension de son autorité à l'environnement numérique.

Par contre, rien n'est mentionné à propos de la taxe des supports multimédias toujours en vigueur, à ce jour.

Le chiffre du jour : 390$

390$ : C'est la cotation du titre Apple au Nasdaq à New-York, ce mardi 23/04 dernier. Ce qui fixe finalement une capitalisation à 370 milliards de dollars contre 607 au 17 août dernier. Soit une chute de 40% de la valorisation.
Ce phénomène n'est pas anodin : il est le reflet d'un certain nombre d'inquiétudes de la part des investisseurs.
Le retard de la sortie de l'iPhne 5S (repoussée au deuxième semestre 2013) assorti à des critiques des experts perplexes sur les capacités de la firme de Cupertino à se renouveler et surtout à innover. À cela s'ajoute également des critiques acerbes à l'encontre de Tim Cook, P-DG intronisé par feu Steve Jobs, moins charismatique que son prédécesseur et n'a toujours pas rencontré les faveurs des investisseurs.
La prochaine sortie des produits Apple devrait marquer définitivement la fin d'une ère et à moins de sortir l'innovation la plus incroyable, Apple devra lutter pour sa survie dans les années à venir.

Le fait du jour : le très haut débit déployé sur tout le territoired'ici 2023

Le gouvernement s'est fixé comme objectif de couvrir l'ensemble du territoire d'ici à 2023 au très haut débit. Les investissements chiffrés à 20 milliards d'euros (promesse du candidat Hollande) devrait donc faire entrer le THD dans tous les foyers de la métropole.
Je suis perplexe sur plusieurs points quand je lis cette déclaration.
1. On peut être perplexe quand on sait que l'ADSL n'a jamais pu être déployé sur tous le territoire. Les zones grises (non éligibles à l'ADSL) ont été rattrapées par l'Internet par satellite pour les plus chanceux quand certains sont restés au 56k.
2. Qui va prendre en charge les déploiements en local de la fibre (sachant qu'actuellement la fibre est la seule méthode de transport de données à cette vitesse) ? Les opérateurs ? Au final, l'éventuel surcoût sera évidemment répercuté sur les utilisateurs et les abonnements.
3. Le THD pourquoi faire ? Alors certes les applications éligibles a la fibre sont nombreuses dans une tête de geek comme la mienne. Mais qu'en est-il des personnes plus âgées ? Alors certes leur population est la composante de la société qui grandit le plus rapidement, mais n'allez pas me dire qu'une Mamie de 70 ans va aller jouer en réseau sur "Call of Duty" ? Quoique...
Non plaisanterie mise à part, la véritable utilisation du THD, ce sont les vidéos à la demande, ainsi que les sites "catch-up" TV, autrement dit les sites de rattrapage des chaînes TV. Mais là encore, mes interrogations me rattrapent. Qui dit "catch-up" TV, dit TV connectées... Hmm, disons-le franchement, le commerce des TV connectées commence seulement à émerger des limbes technologiques des constructeurs, mais en cette période de crise, qui voudrait changer de téléviseur juste pour avoir les dernières innovations technologiques (sachant même que les programmes interactifs ne sont pas légions). L'équation va devenir rapidement compliquée, si la crise perdure. Attention, je ne gage pas que les TV connectées n'auront jamais de succès, mais je dis juste que ce sera plus compliqué que prévu. À l'heure où la HD peine à s'imposer (je ne parle même pas de la 3D), on voit que ce sont en réalité toutes les innovations technologiques qui sont à la peine dans ce dossier.
Alors oui effectivement je suis perplexe sur ces engagements. J'espère juste une chose en tant que geek, c'est qu'ils finissent par se réaliser dans les meilleurs délais.

Votez pour le nom des deux satellites de Pluton

Alors qu'ils étaient précédemment nommés P4 et P5 depuis leur découverte en juillet 2011, un petit sondage leur permet désormais de leur attribuer un petit surnom. Ces noms issus de la mythologie romaine/grecque doit permettre de nommer ces deux corps, considérés donc comme des satellites du planétoïde.
Parmi les noms possibles, il y a : Acheron | Alecto | Cerberus | Erebus | Eurydice | Hercules | Hypnos | Lethe | Obol | Orpheus | Persephone | Styx | Vulcan

Les noms de Acheron et de Hypnos ont eu mes faveurs, même si je pense qu' Acheron pourrait ne pas être attribué à cause de sa trop grande consonance avec le premier satellite de Pluton : Charon.

Pour faire le sondage suivez le lien

Lien Wikipédia pour Pluton

Le chiffre du jour : 2.770.000

2.770.000 : c'est le nombre d'abonnés perdus par les opérateurs de téléphonie mobile en Espagne. Plus précisément, il s'agit du nombre de lignes clôturées en 2012. L'Espagne compte 47 millions d'habitants et certains possèdent deux lignes ou plus. À préciser également, le taux de chômage y est de 26%.

Le chiffre du jour : 25.000.000.000

25.000.000.000 : c'est le nombre de titres téléchargés sur iTunes, la célèbre plateforme d'Apple, depuis sa création, le 28 avril 2003.

Les erreurs du gouvernement sur les dossiers numériques

Avec l'arrivée du gouvernement socialiste et aussi d'Aurelie Filipetti, je pensais que l'alternance aurait mis à mal les errements du gouvernement précédent. En fait il n'en est rien...

À propos d'HADOPI
C'était une promesse du président Hollande que de réformer cette (noble ?) institution. À quoi bon, cette autorité qui a envoyé en 2012, plus d'un million d'avertissement par mail (premier avertissement) pour ne transmettre à la justice qu'un seul dossier condamnant à 150€ d'amende, en 2012. On se demande à quoi servent les 11 Millions d'euros de dotation de l'institution.
Alors certes Marie-Françoise Marais et Mireille Imbert-Quaretta ne cessent de prôner les effets dissuasifs de ces mesures, mais qu'en est-il réellement de la plus-value réalisée dans ces conditions dans le secteur de la culture ? Difficile à dire vu qu'aucune étude n'a été diligentée (ne serait-ce que par la Rue de Valois).

À propos de la Redevance pour Copie Privée (RCP)
Là encore, rien n'est réformé. La encore, le gouvernement aurait du prendre la défense des consommateurs, mais il n'en a rien été. Au contraire, quand les industriels de la commission et une grande partie des associations de consommateurs ont fustigé le calcul des taxes et finalement, pour certains, quitté la commission, la ministre de la culture est elle-même montée au créneau en dénonçant le "coup de force" des industriels.
Au final, tout le monde sait que les ayants-droits imposent leur vision des choses, mais personne n'ose s'attirer leur foudre. Ou se trouve le courage du gouvernement ? Et dernièrement, la révision des tarifs a été entérinée bon an, mal an. Inacceptable.
Pour rappel, on précisera que la RCP était d'abord mise en place pour palier le manque à gagner lier à l'exercice du droit à la copie dans le cadre privé, par les consommateurs. On se rend plutôt compte quand le contexte est tout autre et qu'il vise nettement à combler le préjudice lié à la recopie d'œuvres obtenues plus ou moins licitement. Mais à très juste titre, certains parlementaires faisaient état qu'une redevance ne pouvait, en aucun cas, constituer une réparation par rapport à un préjudice subit outre mesure. Pourtant jamais, il n'a été question d'une quelconque réforme de ce collège et encore moins de son fonctionnement.

À propos de Twitter et des tweets antisémites ou racistes
Là, le sujet de fond est bien la neutralité du web ainsi que la liberté d'expression. S'ajoute à cela, les différences d'appréciation qui peuvent être faites de chaque côté de l'Atlantique concernant cette dernière. Aussi en posant la question : "une société étrangère doit-elle répondre des faits et gestes des utilisateurs de ses services dans le pays d'origine de ces mêmes utilisateurs ?"
Pas si simple. Juridiquement, la justice française devrait être saisie (ce qui a été fait consécutivement au dépôt de plainte de l'UEJF). Mais en réalité même si un tribunal ordonne à Twitter de retirer les tweets concernés et à communiquer les identités des rédacteurs, en fait, rien ne l'y oblige, puisqu'il s'agit d'une société américaine et quelle ne peut donc être jugée que par une instance elle-même américaine.
Je ne souhaite pas créer de polémique par rapport à ce qui a été dit et fait, mais il s'agit quand même d'une forme de censure de l'Internet. Alors voilà, à cause d'un certain nombre de personnes xénophobes (ou ne n'assumant pas) on voudrait retirer ces messages. Dis clairement je suis contre la xénophobie et l'antisémitisme, mais, bon sang, il y a peut être une autre solution que l'injonction pénale. À mon humble avis, les médias accordent beaucoup trop de crédit à Twitter et prennent pour argent comptant le nombre infinitésimale de messages (il en transite beaucoup plus sur ce service) au lieu de le relativiser. Alors question : aujourd'hui les tweets indésirables vont être retirés et certainement leurs auteurs vont devoir comparaître, mais à ce niveau pourquoi ne pas faire comparaître également ceux qui retweettent ces messages sans discernement aucun ? Ou peut bien s'arrêter la censure sous couvert de la moralité ou de justice ?
Le gouvernement ne fait toujours pas preuve de discernement non plus. Et c'est bien dommage, car à traiter un sujet comme celui-ci, il s'en aurait trouvé probablement grandi en terme d'opinion favorable de la part de la communauté technophile. Mais là encore une fois, on brandit le glaive de la justice avant de consulter les instances nationales et internationales. Au final, on observe un bel amalgame d'association d'idées (parfois fausses, et/ou souvent trompeuses)...

Le chiffre du jour : 11

11, c'est le nombre de jeux que l'éditeur américain de jeux sociaux Zynga a décidé de supprimer de son catalogue en 2013. Les jeux concernés sont
•Petville,
•Mafia Wars 2,
•Fishville,
•Vampire wars,
•Treasure Isle,
•Mafia Wars Shakedown,
•Forestville,
•Montopia,
•Mojitomo,
•Word Scramble Challenge,
•Indiana Jones Adventure World.

Un processus d'indemnisation des joueurs concernés devrait être mis en place par l'éditeur.